

Comme je l'ai dit sur la page précédente, je suis
grand-mère, maman, et épouse depuis quarante et un ans. Je
suis femme au foyer après avoir été mère au foyer en ayant tout de
même participé à la vie active quinze années avant de me consacrer
davantage à mes enfants et à mon époux (ou l'inverse pour ne choquer
personne...).

De cette union sont nés
deux garçons : Stéphane, l'aîné, alias Stef,
que je voulais appeler Thomas mais à l'époque en jeune épouse
obéissante j'ai dû me plier aux desiderata de la famille,
et Fabrice-Nicolas, dit Fab pour ses
copains et Brice par moi (parce que j'ai toujours voulu le prénommer
ainsi mais le patronyme étant court il lui fallait un prénom
long...). Malheureusement, mon fils cadet n'a jamais utilisé son
double prénom, tant et si bien que même sur son extrait de naissance
le trait d'union a disparu (oubli d'un agent de l'état-civil) et
comme c'est le cadet de ses soucis, je doute qu'il en demande la
rectification officielle un jour. Mais n'est-ce pas un peu notre
faute ? Si nous avions toujours utilisé son prénom dans son
intégralité, peut-être serait-il appelé de cette manière
aujourd'hui, encore que, connaissant le sens du raccourci de notre
rejeton, il s'en serait débarrassé.
Stéphane est marié
depuis treize ans à Catherine et Brice
a divorcé d'avec Carine. Mais ainsi va la vie et
Carine restera la maman qui a donné naissance à trois merveilleux
enfants
et à ce titre elle conservera toujours
toute mon affection. Frédérique est désormais la
compagne qui partage la vie de Brice et est tout aussi bienvenue
dans la famille que l'a été Catherine quand Stef nous l'a
présentée... et la maman d'une petite Amandine qui, depuis que ses
parents ont quitté la région parisienne pour venir vivre en
Languedoc également, est la seule dont je suis désormais - à temps
plein - la croissance...

Pour en terminer et
avant de montrer la dernière génération, il faut ajouter la souche
maîtresse (cliquer ici pour la photo) qui,
hélas, a été amputée de moitié par la brutale
disparition de mon beau-père, en juin 2003 .

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